Présentation :
La propriété située à l'est de la commune de Margaux possède une surface de 262 hectares depuis le 17ème siècle et environ le tiers, 87 hectares, est consacré à la vigne (75 % Cabernet-sauvignon, 20 % Merlot, 5 % Petit verdot et Cabernet franc).
Le vignoble est disposé sur un sol de graves, d'argiles et de calcaire avec une altitude maximale de 21 mètres (Chigarray).
La création d'un vignoble blanc débute avec le millésime 1978 et la surface consacrée est alors de 7 hectares.
Le domaine tire son nom du lieu où il se situe.
Histoire :
Avant de devenir un domaine viticole, il y avait au 12ème siècle un château fortifié, connu sous le nom de La Mothe-Margaux, rattaché à la seigneurie de Blanquefort.
Le 24 novembre 1377, Bernard d'Albret (?-1392) lègue à sa sœur Rose d'Albret (1355-?) le château de la Mothe-Margaux lors de son mariage avec Bertrand II de Montferrand (1345-1409).
Vers 1445, Marguerite de Montferrand (1430-?), une des deux filles de Rose d'Albret, épouse Jacques Angevin (1430-1504), seigneur de Rauzan, de Pujols et de Civrac et lui apporte ultérieurement la seigneurie de Margaux.
Le 13 décembre 1478, Jeanne Angevin, Dame de Rozan et de Pujols (1460-1513), fille unique de Marguerite de Montferrand, épouse Jean de Durfort, seigneur de Duras, de Blanquefort et de Villandrau, maire de Bordeaux en 1480 et lui apporte la seigneurie de Margaux.
Le 25 mars 1480, la seigneurie de Lamothe de Margaux est vendue par Thomas de Durfort à Jehan Gimel, négociant en pastels et en vins de Bordeaux.
En 1495, Blanquine Gimel, fille de Jehan de Gimel, épouse Jean de Lory, prévôt des ouvriers monnayeurs de la ville de Bordeaux (1533).
Leur fils, également appelé Jehan de Lory, écuyer bapteur de monnaie leur succède à la tête de la seigneurie.
Entre 1568 et 1596, Pierre de Lestonnac (?-1607) commence à acheter des terrains sur Cantenac, Margaux et Soussans et va enserrer la propriété des Lory.
Vers 1590, les Lory sont toujours propriétaires de la seigneurie de Margaux (Jehan de Lory fait établir un terrier entre 1588 et 1590).
En 1610, Olive de Lestonnac (1572-1652), fille de Pierre de Lestonnac, nièce de Michel de Montaigne, épouse de Louis de Gentils (?-1613), baron de Cadillac et du Hach, puis à compter du 6 juillet 1617 de Marc-Antoine de Gourgues (1575-1628), baron de Vayres et premier président du parlement de Bordeaux (à partir du 27 décembre 1616) va poursuivre l’œuvre de son père et acquérir la maison noble de Lamothe-Margaux avec son vignoble par adjudication.
Dès cette époque le domaine va prendre sa superficie actuelle.
Elle continuera de remembrer le domaine et de l'agrandir en échangeant ou rachetant des terrain au gré des opportunités.
Après le décès d'Olive de Lestonnac en 1652, son cousin Pierre de Lestonnac d'Aulède hérite du domaine mais meurt juste après de la peste. C'est donc Jean Denis d'Aulède de Lestonnac (?-1694), fils de Pierre et cousin d'Olive de Lestonnac, premier président du Parlement de Bordeaux et futur propriétaire du château Haut-Brion (mariage avec Marie-Thérèse de Pontac en 1654) qui hérite du domaine.
A la fin du 17ème siècle, entre 1684 et 1692, le domaine atteint la superficie de 267 hectares et un tiers des terres sont consacrées au vignoble soit 76 hectares.
En 1694, le propriétaire du domaine est le fils de Jean-Denis de Lestonnac, François Delphin, baron de Margaux d'Aulède de Lestonnac (1655-1746) également propriétaire du château Haut-Brion.
Passionné par le vin, le baron d'Aulède, assisté de son régisseur Berlon, va moderniser son domaine en apportant son attention à l'élevage du vin ou au tri de la vendange.
Celui-ci va être le premier à mettre le nom de château comme préfixe de son cru. Le 4 juin 1705, the London Gazette annonce la vente de 230 barriques de nouveau Pontac et de Margose.
Après son décès, en 1746, sans héritiers, sa seconde épouse, Marie-Antoinette Charlotte de Lenoncourt (?-1755) épousée à l'âge de 80 ans, va diriger et développer le domaine jusqu'à son décès sans postérité. A compter de ce moment, le domaine devient la propriété de Joseph de Fumel (1720-1794).
En 1759, celui-ci fait replanter le vignoble en n'utilisant que des cépages « nobles ».
En 1765, George Ainslie, seigneur de Pittown et de Durfort, achète la totalité de la récolte au prix de 925 livres le tonneau.
En 1773, la fille unique du comte de Fumel, Marie Louise Michelle Élisabeth de Fumel (1749-1794), va épouser Élie Nicolas Dubarry d'Hargicourt (1740-1820) dit l'Honnête Homme.
En 1776, le domaine est classé premier cru de Margaux par le courtier Labadie dans sa nomenclature des vins de Guyenne à l'attention de Dupré de Saint-Maur, intendant général avec une valeur de 1200 à 1500 livres par tonneau (contre 1000 livres pour Rauzan, classé deuxième cru de la commune).
En 1784, pour la première fois, une vente par abonnement de la production du domaine est effectuée (vente de récoltes à venir) auprès des négociants W. et H. Johnston.
La période de la Révolution française est une période mouvementée pour le domaine, Joseph de Fumel va devenir en mars 1790, le premier maire de la commune de Bordeaux et après s'être retiré au château de Haut-Brion, il sera guillotiné le 27 Juillet 1794, sa fille ayant été guillotinée le 6 février 1794. Son gendre le comte d'Hargicourt échappe à la guillotine car il a émigré.
Le château Margaux est saisi comme Bien national et le fermier qui l'exploite est Mathieu Migneau. Celui-ci va très mal géré le domaine en ne s'occupant pas de la vigne et en laissant le jardin et le verger en friche.
Le 14 octobre 1794, Augustine Marguerite Laure de Fumel (1775-1813) épouse Joseph Hector de Brane, propriétaire du domaine de Brane Mouton (le futur Mouton-Rothschild). Celui-ci va imposer comme cépage principal du vignoble le Cabernet-sauvignon.
En 1795, Laure de Fumel (?-1813), cousine germaine d'Élisabeth de Fumel, dernière membre de la famille de Fumel vivante et présente en France, rachète à Mathieu Migneau le château Margaux avec l'aide de plusieurs négociants bordelais : Robert Forster, Daniel Guestier, la famille Johnston, les frères Macarthy et Henri Martin pour la somme de 260000 livres et un loyer annuel de 24000 livres, en contrepartie de la direction du domaine jusqu'en 1811.
Le 4 juin 1796, Laure de Fumel (?-1813), cousine germaine d'Élisabeth de Fumel, dernière membre de la famille de Fumel vivante et présente en France, rachète aux enchères le château Margaux pour 1048813 livres. La superficie du domaine atteint 165 hectares.
En 1797, le baron de Brane émigre et abandonne à leur sort son épouse et son fils Joseph Maxime de Brane (1796-?).
Le 9 octobre 1801, Augustine Laure de Fumel, après avoir obtenu le divorce, épouse en seconde noces Frédéric Guillaume Langsdorff, (1771-1829), baron de Langsdorf, négociant et consul du duché de Wurtemberg à Bordeaux. Suite à ce mariage, Laure de Fumel met en vente le domaine de Margaux. Elle le propose d'abord aux fermiers du domaine (Forster, Guestier, Johnston, Macarthy et Martin) pour la somme de 900000 francs qui déclinent l'offre. Suite à ce refus, elle décide donc de le vendre aux enchères.
En 1802, l'acheteur est Bertrand Douat (1742-1815), marquis de la Colonilla (originellement le titre était marquis de Bayonne), pour la somme de 654000 francs.
En juin 1810, Bertrand Douat fait raser l'ancien château de style gothique et lance la construction par l’architecte Louis Combes (1757-1818), élève de Victor Louis, du château actuel et de ses bâtiments techniques dont les travaux s'achevèrent en 1816 (classé monument historique en 1946). Celui-ci fut un propriétaire totalement absent, le château Margaux n'étant qu'un élément marquant de sa réussite personnelle.
En 1814, la société de négoce Blackenbury et Cie de Liverpool, achète , par l'intermédiaire de son courtier Miailhe, la récolte du domaine au prix de 2600 francs le tonneau ((1200 bouteilles). Prix équivalent à celui payé pour le château Latour.
Après son décès, le domaine est géré par les représentants de la famille Douat et le vin produit est vendu par abonnement aux négociants bordelais par période de 10 ans.
En 1822, le gel du mois d'avril et un orage de grêle en juillet vont provoquer la perte d'environ la moitié de la production du millésime.
Le 3 septembre 1835, les héritiers Douat de la Colonilla vendent le château Margaux pour la somme de 1300000 francs à un banquier d'origine espagnole Alexandre Marie Aguado (1784-1842), marquis de Las Marismas del Guadalquivir, vicomte de Monte Ricco et naturalisé français en 1828.
De ses deux fils, c’est Onésipe Aguado (1830-1893) qui héritera du domaine après le décès de son frère Alexandre, fou. En attendant sa majorité, le château Margaux sera loué entre 1843 et 1853 aux négociants suivants : Barton & Guestier, Closmann & Cie, Cruze et Hirschfeld, N. Veuve Delbos & fils et Johnston & fils. Ceux-ci se partageant la commercialisation de la production à raison de 20 % chacun. Le régisseur de l'époque s'appelle Véron.
Le 18 avril 1855, le domaine est désigné 1er Grand cru Classé du Médoc. Cette même année, Etienne-Benjamin Boutet, régisseur du château Latour quitte celui-ci et devient le régisseur du château Margaux.
Durant toute cette période, le vin du domaine continue à être vendu par abonnement.
Le 27 avril 1873, une gelée détruit la moitié des raisins du vignoble.
En 1879, Emily Macdonnel (1817-1905) épouse d'Onésipe Aguado vend le château au comte Frédéric Pillet-Will (1837-1911), gouverneur de la Banque de France, pour la somme de 5 millions de francs. La vente ne sera officielle qu'en novembre 1880. Le domaine possède alors une superficie de 235 hectares et le vignoble de 81 hectares.
Cet achat se fait au pire moment pour Pillet-Will, cette période n'est qu'un enchaînement de crises économiques et viticoles successives : oïdium, mildiou puis phylloxéra.
En 1896, Pierre Moreau, courtier en vins, est recruté pour diriger le domaine.
Suite à la crise phylloxérique, période d'une quarantaine d'années (1880-1920) où le vignoble souffrit du mildiou, de l'oïdium, du phylloxéra mais également d'invasion d'insectes (cochylis, eudémis, pyrale...), le vignoble est replanté avec des porte-greffes. Les premières années, la production des jeunes vignes est pléthorique ce qui abouti à la commercialisation d'un second vin issu de ces jeunes vignes.
En février 1907, le château Margaux signe un contrat d'abonnement de 10 ans avec les négociants Eschenauer, Journu et Schröder & Schyler (33 % du contrat).
En 1908, le second vin du domaine prend son nom définitif : Pavillon rouge.
Après le décès du comte comte Frédéric Pillet-Will en 1911, le duc Charles Marie de la Trémoille (1863-1921), époux de la fille de Frédéric Pillet-Will, Hélène (1875-1964) prendra la direction du domaine.
Le 12 juillet 1917, un nouvel abonnement est conclu pour cinq millésimes supplémentaires, aux mêmes conditions que le château Latour et le château Margaux, avec cinq maisons de négoce : Barton & Guestier, J. Calvet, Eschenauer, Journu & Kappelhoff et Schröder & Schyler.
En 1920, la propriété est reprise par la Société viticole de Château Margaux au capital de 3 millions de francs, menée par Pierre Moreau, (courtier en vin et homme de confiance de Frédéric Pillet-Will à compter de 1896) et dont le principal actionnaire est Albert Isenberg, armateur de Sète et consul honoraire de Belgique. Le maître de chai est alors Marcellus Grangerou.
Dès 1920, Pierre Moreau va créer le Pavillon blanc de Château Margaux et en 1924, en même temps et en accord avec le château Mouton-Rothschild, commence la mise en bouteilles au château.
En 1932, l'un des membres de ce syndicat est Léonce Récapet (1858-1943), propriétaire de château Brane-Cantenac qui détient avec son gendre monsieur Lurton 40 % des parts.
A compter de 1935, Fernand Ginestet va commencer à racheter des parts de la société civile, notamment avec l'aide de monsieur Boy-Landry, maire de Saïgon à l'époque et important négociant en vins.
En 1937, le château Durfort-Vivens est racheté et sera dès lors vinifié au domaine. Il sera un officieux second vin du domaine et ce pendant une trentaine d'années jusqu'à sa vente en 1961 à Lucien Lurton.
Le 5 avril 1943, une délégation de notables bordelais conduite par Fernand Ginestet, président de l'Union de la Propriété et du Commerce, comprenant entre autres Edouard Kressmann (1907-1985), président du syndicat des négociants en vins et spiritueux de Bordeaux et de la Gironde, Pierre Martin (1903-1974), maire de Rauzan (Gironde) et président de la confédération nationale des caves coopératives et Maurice Salles, président de la Fédération des grands vins à appellation contrôlée de la Gironde et futur président du CIVB, est reçue à Vichy par le maréchal Pétain pour lui offrir la production d'une partie du vignoble du château Margaux qui devait être isolé et renommé Clos du Maréchal, tout comme pour la parcelle du vignoble de Beaune Les Teurons.
En 1949, la participation de 40 % héritée de Léonce Récapet et détenue par la famille Lurton (André Lurton, futur propriétaire du château Couhins-Lurton, Lucien Lurton, propriétaire de château Brane-Cantenac à l'époque, Dominique Lurton et leur sœur dans la société civile de Château Margaux) est échangée contre le Clos Fourtet, contrôlé à l'époque par Pierre Ginestet.
En 1950, la société civile des vignobles Ginestet avec à sa tête Pierre Ginestet devient seule propriétaire du domaine et la mise en bouteille au domaine, pratique partiellement disparue à la fin des années 1930 est reprise.
Pierre Ginestet décide alors de replanter le vignoble, restaurer le château et de refaire le cuvier. Des échanges de parcelles ont lieu avec le château Rauzan-Ségla, des bâtiments et une partie du vignoble du Château Abel Laurent † seront utilisés pour la propriété.
En 1967, le vignoble possède une superficie de 56 hectares.
En 1971, le château Margaux achète à Arnaud Bichon, 25 hectares du château Abbé Gorsse de Gorsse dont 10 hectares de vignes. Arnaud Bichon conserve le château et son parc d’un hectare.
En 1977, la propriété est cédée à André Mentzolopoulos (?-1980), propriétaire du distributeur Félix Potain et actionnaire de Nicolas pour la somme de 72 millions de francs après une première tentative de vente en 1974 à la société American Distillers associée à la société Remy Martin pour la somme de 82 millions de francs (refus de l'état français) et un achat en 1975 par Marcel Dassault pour la somme de 60 millions de francs, achat annulé quelques semaines après la signature du compromis de vente.
La gérance du domaine est confiée à Laura Mentzelopoulos, épouse d'André et les responsables du domaines sont Philippe Barré pour la direction, Blanchard pour le vignoble et Jean Grangerou pour les chais. Le professeur Emile Peynaud devint l’œnologue conseil la même année.
André Mentzolopoulos va alors investir 40 millions de francs pour replanter une partie du vignoble et améliorer le drainage.
En 1979, Serge Dassault tente de racheter le château Margaux.
En 1980, André Mentzelopoulos décède, son épouse et sa fille restent à la tête du domaine.
En 1982, un nouveau chai souterrain est construit par l’architecte Bernard Mazières.
A partir de 1983, Paul Pontallier, ingénieur agronome et docteur en œnologie, rejoint le domaine.
En 1986, la superficie du vignoble est de 85 hectares en rouge et 12 hectares en blanc.
En 1990, la famille Agnelli prend une participation majoritaire dans le capital (75 %) avant de revendre ses parts en 2003 à Corinne Mentzolopoulos actuelle propriétaire, dirigeante depuis 1980 du domaine et fille d'André Mentzolopoulos, pour une somme estimée entre 225 et 300 millions d'euros. Cette même année, Philippe Barré part en retraite et Paul Pontallier prend la direction du domaine.
En 2000, Philippe Bascaules devient le directeur technique du domaine.
Depuis 2009, le système gravitaire est mis en place pour le transport des baies et la circulation des moûts.
En juin 2011, Thomas Dô Chi Nam, responsable technique jusque là du château Pichon-Longueville Comtesse de Lalande, remplace Philippe Bascaules qui part prendre la direction du domaine Inglenook californien de la Napa Valley, propriété du réalisateur Francis Ford Coppola.
En 2013, l'orangerie du domaine, plus grande orangerie privée de France avec 800 m² de superficie, est réhabilitée.
En 2014, de nombreux travaux de rénovation sont effectués, extension du cuvier pour les vins rouges : ajout de 40 cuves suplémentaires, construction d'un nouveau chai de vinification pour les vins blancs. Déménagement de la tonnellerie du domaine dans un nouveau local et construction d'un nouveau chai de stockage souterrain (80 mètres de longueur, 12 mètres de hauteur). La même année, Thomas Dô Chi Nam quitte le domaine et est remplacé par Sébastien Vergnes comme directeur technique.
En mars 2016, Paul Pontallier décède.
En mars 2017, Philippe Bascaules reprend la direction du château Margaux tout en continuant de superviser le domaine Inglenook en Californie.
En 2023, Alexis Leven-Mentzelopoulos succède à Corinne Mentzolopoulos à la direction du domaine.
En 2024 débute la commercialisation d’un second vin du Pavillon blanc.
Les vins :
La densité moyenne de plantation est de 10000 pieds à l'hectare.
Le rendement moyen est de 45 hl/ha.
Rouge :
Élevage en fût de chêne de 20 à 24 mois pour le grand vin.
Le millésime 2015 est commercialisé avec une bouteille sérigraphiée en gris et or, sans étiquette papier. A compter du millésime 2016, le grand vin est doté d’une capsule et d’une impression marron clair, Pavillon rouge a une capsule et une impression rouge sur un fond jaune pâle et Pavillon blanc une capsule et une impression bleue sur fond blanc. La police de caractère utilisée rappelle celle utilisée à partir de 1865 et les caisses bois sont en pin Radiata (pin de Monterey) avec le logo du château Margaux imprimé sur les caisses de 6 bouteilles.
Le second vin du domaine porte le nom de : Pavillon rouge.
Existe depuis le millésime 1908.
Ce vin fut créer par le comte Frédéric Pillet-Will. Il prendra son nom définitif en 1908 et sa production cessera durant les années 1930 jusqu'à la reprise de la propriété en 1977 par André Metzolopoulos et sa « renaissance » avec le millésime 1975.
Élevage en fût de chêne de 18 à 20 mois pour le Pavillon rouge.
Margaux de Château Margaux :
Création en 2013 avec le millésime 2009.
Elevage identique à celui du Pavillon rouge.
Élevage en fût de chêne de 18 à 20 à mois.
Blanc :Pavillon blanc :
Création avec le millésime 1920.
Sa production cessera durant les années 1930 jusqu'à la reprise de la propriété en 1977 par André Metzolopoulos et sa « renaissance » avec le millésime 1975 commercialisé en 1978.
Vin produit dans l'appellation Bordeaux blanc.
Élevage en fût de chêne de 6 à 8 mois.