France. Nom donné durant le 20ème siècle à la pratique des négociants parisiens du coupage des vins d’Algérie, riches en alcool, mais pauvres en acidité, avec des vins issus de cépages hybrides. L'ajustement au titre alcoolique désiré se faisant par un ajout plus ou moins important de vins issus du cépage Aramon (cépage peu alcoolique).